sur la route de DODJI
400 kilomètres de route et de pistes pour arriver à DODJI... C'est vrai que mes pilotes de choc de FORCHANA (dont certain sont actuellement en retraite à rien foutre à NICE pendant que d'autre travaille) m'ont manqué....
Mais bon les paysages sont assez sympas, même si ils ne varient relativement peu.
Au bout de 3 heures de route au nord est de THIES, la ville sainte de TOUBA et sa mosquée (Lamp Fall, le "phare" pour tous les Mourides, sorte d'islam sunnite sénégalais prêché par des marabouts)...
Encore plus au nord, après 5 heures de route la paysage se désertifie pour faire place à la zone sub-sahélienne.
Enfin après plus de 6 heures de route et de pistes défoncées (pour les L200, et plus de 12 heures pour les convois de véhicules militaires), c'est DODJI, ses pistes sablonneuses... ses fantassins...
Pas de belle autostoppeuse, juste des biquettes préférant le feuillage des arbres à la végétation basse et désèchée...
Nos infirmiers aussi en ont profité pour suivre les trasses du docteur Livingstone... et prodiguer quelques soins de première urgence aux habitants de DODJI.
Mais comme toujours, une bonne journée se termine traditionnellement autour du poulet Yassa maison, mangé à même le sol, couché sur une natte, chez l'habitant.
Rien de bien surprenant pour tous les "vieux africains" et pour le Tchadien blanc... (souvenirs, souvenirs....pas vrai Romain!!!).
Mais bon les paysages sont assez sympas, même si ils ne varient relativement peu.
Au bout de 3 heures de route au nord est de THIES, la ville sainte de TOUBA et sa mosquée (Lamp Fall, le "phare" pour tous les Mourides, sorte d'islam sunnite sénégalais prêché par des marabouts)...
Encore plus au nord, après 5 heures de route la paysage se désertifie pour faire place à la zone sub-sahélienne.
Enfin après plus de 6 heures de route et de pistes défoncées (pour les L200, et plus de 12 heures pour les convois de véhicules militaires), c'est DODJI, ses pistes sablonneuses... ses fantassins...
Pas de belle autostoppeuse, juste des biquettes préférant le feuillage des arbres à la végétation basse et désèchée...
Nos infirmiers aussi en ont profité pour suivre les trasses du docteur Livingstone... et prodiguer quelques soins de première urgence aux habitants de DODJI.
Mais comme toujours, une bonne journée se termine traditionnellement autour du poulet Yassa maison, mangé à même le sol, couché sur une natte, chez l'habitant.
Rien de bien surprenant pour tous les "vieux africains" et pour le Tchadien blanc... (souvenirs, souvenirs....pas vrai Romain!!!).